On n’entend aucun responsable de la formation politique d’extrême-droite suisse dénoncer les dérives du fondamentaliste norvégien et le drame considérable qu’il a causé.
Sans doute sont-ils tous opportunément en vacances ou aux abonnés absents.
C’est un peu comme si une grande gêne existait dans le mouvement en question que l’on assimile trop facilement ses idées permanentes d’exclusion de celui qui est différent avec les conséquences qu’une telle idéologie peut générer dans une société démocratique.
Et pourtant le parallèle entre les deux est évident.
Et le poison du même ordre. Il n’y a qu’à suivre les fréquentations de Freysinger avec les partis d’extrême-droite européens pour s’en convaincre.