H. Guaino pense pouvoir nous persuader que son Maître a changé, car «Les crises auxquelles nous sommes confrontées ramènent au premier plan la nation et la dimension tragique de l’Histoire». Quelle phrase creuse et vide de sens !
Voici donc les cinq raisons pour lesquelles N. Sarkozy n’entrera pas dans l’Histoire:
1) Ni la Nation, ni la dimension tragique de l’histoire ne quittent « le premier plan » pour un homme politique véritablement impliqué dans son rôle car , monsieur Guaino, pour mémoire les crises sont le lot commun de l’Histoire ( la première crise financière mondiale a eu lieu au XVIII° siècle).
2) Les théoriciens du « y’a qu’à, faut qu’on » (Sarkozy, Guéant, Besson et les autres) on fait preuve par le passé de leur incompétence (gestion de la crise en Géorgie que la Russie de Poutine occupe toujours, incapacité chronique à anticiper l’avenir même à court terme au Moyen-Orient etc….). Lorsque l’on simplifie à l’extrême les problèmes on ne peut trouver que des solutions simplistes qui n’en sont pas.
3) Les discours de leur président ne résiste pas à l’analyse. Ils transpirent le racisme et la basse manœuvre politique (Dakar, Grenoble etc….)
4) Pour entrer dans l’histoire il faut en connaitre le sens ( visiblement N. Sarkozy nous gratifie d’un numéro de girouette hors du commun, comme lors de son apologie d’une France de propriétaire adossé au « crédit facile » base et déclencheur de la « petite » crise financière de 2008)
5) S’il vous plaît, citez moi un exemple de décision « historique » prise par le pouvoir politique français depuis 2007…………
Quel silence assourdissant.