On pouvait aussi choisir de s’enfermer quelques instants avec Raoul dans sa caravane pour un quart d’heure (peut-être plus tellement le temps passait vite) de magie mentaliste bluffante. Il fallait voir les visages de chaque quinzaine de spectateurs à la sortie !
Ou d’entrer dans la cabine à trois sièges du cinéma dynamique artisanal de la famille Detritos où l’aventure projetée sur l’écran devant vos yeux devenait la vôtre à tel point que vous pouviez y perdre le contenu de vos poches (je n’y ai retrouvé la clé de mon hôtel que le lendemain !), secoués de droite à gauche, d’avant en arrière, mais désireux de rester un temps encore derrière la cabine pour voir les manipulateurs des sièges et leur drôle de chorégraphie.