Histoire poétique de ma vie
L'amour au-dessus du calvaire
Je vais vous parler comment j'ai rencontré ma femme.
Simplement de notre histoire d'amour.
L'amour au-dessus du calvaire.
Chantier du siècle, maçon j'ai été pris pour travailler sur ce site.
Louant une caravane à trois kilomètres de ce lieu, que j'ai appelé le calvaire, car sur la côte la plus haute montait sur des pierres anciennes, il y avait la vierge.
D'ailleurs j'y suis allé très souvent lui demander sa protection.
Les journées à faire les voussoirs, je ne demandais pas mon reste pour quelques heures de repos.
Le premier week-end arrivait.
Là, je ne sais pas ce qu'il s'était passé, j'avais trente-sept ans, mais j'ai vu cette fille de dix-huit ans qui tournaient dans le terrain.
Tous les soirs, elle allait jouer au ping-pong à l'opposer de celui-ci.
Etant seul j'allais voir.
Je la regards, physique de Cléopâtre ( une déesse )
Nos regards se croisèrent plusieurs fois, un courant électrique était passé.
En moi-même, je me disais-tu es fou, elle est bien trop belle, trop jeune pour toi, ( mais l'espoir fait vivre ).
Un jour, elle me demandait de faire une partie avec elle, voulant être en équipe contre deux autres jeunes.
J'ai accepté je savais jouer.
De ce fait nous nous sommes rapproché un peu plus.
J'aimais sa façon de parler, de bouger, enfin tout ce qui la concerne.
Plusieurs semaines se passèrent ainsi, nous étions de plus en plus proches.
samedi, dix juin son poste sur son épaule, elle était venue me voir pour faire un tour.
Nous parlions quelques minutes sur mon terrain, puis se baissait pour frotter ses mains dans l'herbe.
je fis de même, là je lui donnais un baiser sur les lèvres.
Pourquoi tu m'as embrassé, parce que j'en avais envie, lui répondit-je.
cela fut le début d'une grande passion, dont je ne savais pas encore, elle, non plus.
les problèmes allaient commencer, la différence d'âge ne plaisait pas à tout le monde.
Moi personnellement j'en n'avais rien à foutre.
J'avais appris à vivre.
Tout le monde se doutait que je me pose des questions, surtout qu'il n'y avait rien de concret entre nous.
Par contre, moi, je ressentais que cela irait très loin.
Le dimanche soir elle repartait dans le nord, travaillant en usine.
Moi de mon côté, tunnel toute la journée.
Mon travail n'était plus le même espérant le vendredi vingts heures, qu'elle revient.
Celui-ci fut arrivé, de suite la voilà chez moi et me sautait au cou.
j'avais donc raison notre amour était réciproque.
devant faire quelques corvées.
Vingt et une heure trente, cette déesse était de nouveau chez moi.
dans le contre temps, j'avais été au village, achetés deux beaux biftecks.
Nous mangions ensemble.
Puis après nous, nous sommes enlacées tous les deux le processus de l'amour était en route.
Plus rien ne pourrait nous barrer la route.
Plusieurs semaines encore qui continuèrent ainsi.
Ma compagne avait ses congés payés, de ce fait nous serions tous les jours ensemble, enfin le soir après mon travail.
Les parents de mon amie, n'étaient pas d'accord de nos relations, j'attrapais vite son père, pour lui dire, que rien de spécial se passait entre nous, il me fit confiance.
Les jours passaient, mais nos liens se renforçaient.
Nous étions à crocs l'un de l'autre.
Je me suis rendu compte que je l'aimais vraiment, je voulais faire ma vie avec elle.
J'expliquais ma situation familiale, cela la laissait indifférente, son planning de la vie était fait.
Nous avons tricher plusieurs fois la nuit pour coucher ensemble, stimulants des sorties.
J'avais mon 4X4 j'allais où je voulais, de plus j'étais connu de partout, les amies s'étaient pas ce qui me manque.
Les liens renforcés par toutes les magouilles que nous devions faire.
Je pensais en moi que j'étais peut-être fou.
Pas du tout l'amour vous fait faire des folies.
Mes quels bonheurs de les apprécier.
D'être à côté de quelqu'un qui vous apprécie pour votre propre personnalité.
S'occupant de vous, surtout quand j'ai pris des cachets pour que ces parents, ne pouvaient nous séparer.
C'est là que j'ai vraiment compris que je ferai ma vie avec elle.
Les jours suivaient essayaient de se voir, le plus possible.
Dans le terrain que ces parents louaient, elle était l'esclave de ces frères et soeurs.
Puis les cachettes commençaient à nous pesait de plus en plus.
Tous ces congés payer ce passèrent ainsi.
Sa vie n'allait plus par les réflexions et autres.
Puis doucement le mois de septembre arrivait.
Etant avec moi, promenant dans les champs.
Elle vue la voiture de son père partir.
De ce fait nous allions voir, tout était fermé plus personne.
Sa famille l'avait abandonné dans le terrain sans rien.
Des ordures, elle ne méritait pas cela, sans explications.
Je la prie donc sous mon épaule, elle resterait avec moi.
Les jours passèrent vite.
Il me fallait trouver un logement décent, je ne pouvais pas la laisser dans une caravane surtout que l'hiver arriver à grand pas.
Le dix octobre, mille neufs cents quatre vingt-dix, un studio en ville, payant de suite, quelques travaux pour rafraîchir les murs, le tour est joué.
Un extrait de ma biographie, pris dans mon roman.
( The boock Edition )