Les diverses propositions émanant des milieux patronaux ces derniers jours au sujet des heures supplémentaires à effectuer « pour lutter contre le franc fort » relèvent du délire droitier le plus complet.
Outre que ces heures ne serviraient qu’à engraisser le patronat et les actionnaires, elles renforceraient encore un franc fort contre lequel de multiples moyens d’agir existent, qui restent inutilisés par une volonté politique suicidaire.
Lorsque des gugusses comme Burkhalter et Schneider-Machin sont aux commandes (et pas en vacances), il n y’ a rien à attendre d’autre que « pas d’idées » ou »de mauvaises idées ».
Le choix en somme entre la peste et le choléra.