Nos plus grands prosateurs étaient des hommes […] qui qui auraient assurément admis que le comble du déshonneur eût été de courir derrière une subvention étatique plus ou moins maquillée en incitation à la création vivante. Sans danger, pas de liberté possible, pas de persuasion, c’est-à-dire de poids, mais au contraire uniquement de la rhétorique, c’est-à-dire moins de la légèreté que de la vanité… Je crois donc que nous avons besoin d’hommes véritables plutôt que de livres, sous la masse desquels nous croulons.
Extraits de l’entretien avec Juan Asensio in Enquête sur le Roman
· Le Grand Souffle - Enquête sur le Roman
· Le texte initial de Juan Asensio / Stalker
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Lectori Salutem, Pikkendorff