Bonjour à vous,
Amis et relations, membre de Parole d'encre, moment de partage de mes lectures de la dernière quinzaine. Cliquez sur le lien et accédez à la chronique.
Cordialement, Pikkendorff alias Patrick
Soirée Littéraire du Jeudi 21 Octobre 2010
Après les trois belles rencontres "exceptionnelles" de la rentrée au Théâtre Montansier, au Potager du Roi et au Parc de St Cloud, nous serons heureux de vous retrouver très nombreux à la Soirée Littéraire du Jeudi 21 Octobre à 20h45, à l'auditorium du lycée Blanche de Castille-Le Chesnay, avec Claudie Gallay pour “L'amour est une île”, Bertrand Runtz pour “Reine d'un jour” et Nathalie Kuperman pour “Nous étions des êtres vivants”.
Jean d’Aillon – La guerre des trois Henri – Vol 1 sur 3
1585. Treize ans de division. Treize ans que la Saint Barthélemy a rougi les pavés de la capitale ; treize ans de rancœurs politiques, religieuses et aussi personnelles ; Paris est une bombe humaine ; Charles IX disparu, le pouvoir d’un Henri III sans héritier est disputé par Henri de Guise et Henri de Navarre, l’Ultra-Catholique et le Reformé, le Balafré et le Béarnais. “Les rapines du Duc de Guise” ouvre une trilogie sur les guerres de religions en France.
Lucky Luke contre Pinkerton
Un extraordinaire numéro à quatre mains qui rend Lucky Luke à ses lecteurs de toujours.
Fatou Diome – Celles qui attendent
“ « La polygamie n’est pas si terrible que ça. » C’était là la pire insulte jamais faite aux martyres de cette pratique d’un autre âge.”
Elles attendent, ces mères et ces épouses au Sénégal sur une île face à l’océan. Elles attendent leurs hommes partis en Europe, l’Eldorado. Arame, Bougna, Cumba et Daba sont les héroïnes de cet essai. Pour un français, ce voyage en pays guelwaar offre un angle de vue intéressant sur ces contrées et leurs habitants.
Olga Tokarczuk – Les Pérégrins
Et cet ostinato lancinant jusqu’à l’ennui me fait abandonner la lecture de cette écrivain d’avant-garde, de la nouvelle littérature d’Europe de l’Est.
Christine Détrez – De deux choses l’une
A celui ou celle qui veut se prendre la tête pendant un ouikende, je conseillerai ce livre abstrus.
Jean-François HAAS – J’ai avancé comme la nuit vient
“Passer les murs est une chose douloureuse, on en tombe malade mais c’est indispensable. Le monde est un. Quant aux murs… Et les murs sont une part de soi – on le sait ou on l’ignore, mais c’est ainsi pour tout le monde, sauf pour les petits enfants. Pour eux, pas de murs.” In ''Vermeer'' Tomas Tranströmer.
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Lectori Salutem, Pikkendorff