Commencée par une alerte biorisque contenue avec difficulté sur le plan médiatique, cette veille de Noël voit un groupe terroriste se servir du fils de famille pour voler une fiole de virus de type ébola. “Aucun remède, énonça-t-il avec difficulté avant de vomir un liquide noirâtre…”
La tempête de neige de l’hiver écossais entrave les plans machiavéliques des terroristes entraînant une suite de rebondissements passionnants.
Un bon thriller du prolifique Ken Follett bien traduit par Jean Rosenthal
Robert Laffont, 2005 (édition originale en 2004), 378 pages, 21,50€uros