Genre: fantastique, super héros
Année: 1996
durée: 1h25
L'histoire: Le gangster Peter Rooker veut s'emparer du secret de la force surhumaine de Darkman. Le Docteur Peyton Westlake est contacté par sa femme l'a soigné à l'hôpital, et qui lui propose de l'aider dans ses recherches.
La critique d'Alice In Oliver:
Après un premier épisode qui avait tenu toutes ses promesses, puis, un second chapitre très décevant voire médiocre, le super héros Darkman est malade. Conscient de l'échec de Darkman 2, Bradford May veut se rattraper et réalise donc Darkman 3: Die Darkman, Die ! Encore une fois, le but est de faire oublier le précédent épisode. Mission plutôt réussie dans l'ensemble.
Sans atteindre les sommets du premier opus, Darkman 3 s'en sort avec les honneurs et propose quelques idées intéressantes.
Cette fois-ci, c'est un mafieux, Peter Rooker (Jeff Fahey) qui s'en prend à Darkman, le but étant de s'accaparer de ses pouvoirs, à savoir sa force surhumaine. Ce qui lui permettrait de monter une armée de surhommes et de prendre le contrôle de toute la ville.
Quant à Darkman, alias Peyton Westlake, l'ancien scientifique mène toujours des expériences afin de retrouver son visage humain.
Il trouve de l'aide auprès d'une infirmière qui avait pansé ses blessures et ses brûlures par le passé. Darkman n'a pas oublié, mais la jeune femme est aussi l'épouse de Peter Rooker. Le super héros doit affronter un nouveau méchant, assez réussi dans l'ensemble. Ensuite, il devra combattre également les sbires de Rooker, transformés en surhommes.
Seul point négatif, cette confrontation entre Darkman et ses clones est plutôt décevante et inexploitée.
Mais le reste du film est de bonne facture. Cette fois-ci, Bradford May exploite son personnage à sa juste mesure, et n'hésite pas à proposer quelques délires oniriques bien sentis. Bradford May semble avoir saisi ce super héros complexe, torturé et condamné à vivre parmi les ténèbres.
Note: 13/20