Love is in the Carpet est très riche en références. Il commence sur un vieux blues très punchy limite punk avec un son bien crasseux ("Voiceless Declaration") qui cède sa place sur les titres suivants à une americana qui lui est chère et qu'il a sur mettre en valeur depuis le début de sa carrière. Mais ses compositions les plus charmantes sont à mettre au crédit de cette folk qu'il a su "popisé" et qui m'évoque un autre jeune surdoué, Sondre Lerche. Je pense notamment à des titres comme "The Joke is on me" ou "The Clothes Make the Man". Je ne crois pas me tromper en disant que ce garçon a aussi été nourri au Beatles dans son enfance tout comme son homologue norvégien.
Comme quoi l'habit ne fait pas le moine et l'âge le talent du chanteur car derrière ce visage joviale se cache un véritable crooner.
Extrait : The Joke is on me