Le Joueur d'échecs, de Stefan Zweig.
Quatrième de couverture : Qui est cet inconnu capable d’en remontrer au grand Czentovic, le champion mondial des échecs, véritable prodige aussi fruste qu’antipathique ? Peut-on croire, comme il l’affirme, qu’il n’a pas joué depuis plus de vingt ans ? Voilà un mystère que les passagers oisifs de ce paquebot de luxe aimeraient bien percer. Le narrateur y parviendra. Les circonstances dans lesquelles l’inconnu a acquis cette sciences sont terrible. Elles nous reportent aux expérimentations nazies sur les elfes de l’isolement absolu, lorsque aux frontières de la folies, entre deux interrogatoires, le cerveau humain parvient à déployer ses facultés les plus étranges. Une fable inquiétante, fantastique, qui comme le dit le personnage avec une ironie douloureuse, « pourrait servir illustration la charmante époque ou nous vivons ».
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