Écrit par La Nouvelle Expression
Jeudi, 21 Juillet 2011 11:24
’àéééééééàééïçééééèéêééé
A la communauté urbaine où l'on peut trouver le cahier des charges relatif aux conditions d'exploitation de gares routières et terminaux routiers, ainsi que le fameux fichier des entreprises en règles pour la ville de Douala, on se veut également formel. Le service de la concertation et des transports urbains, par ailleurs point référencié du transport de la ville de Douala au niveau national affirme sans difficultés que parmi la pléiade des agences en exploitation dans la ville de Douala, seules cinq sont autorisées à exploiter un terminal routier.
Deux mégagares en vue
D'après des informations obtenues de ce service, seulement cinq agences sont à ce jour en conformité avec le cahier des charges notamment : disposer d'une superficie de 1500 m2 pour son terminal routier, ne pas être installé dans une zone susceptible de créer des conflits de circulation (l'entrée, le débarquement des passagers ,les manœuvres des bus, l'embarquement des passagers doivent se faire à l'intérieur de l'agence et non sur la chaussée) ; disposer d'équipements conformes pour les passagers (salle ou hall d'attente bien aménagé, toilettes...) et pour les chauffeurs (chambres de repos).
D'après la Cud, les agences de voyages qui ont mandat d'exploiter un terminal routier sont entre autres, Central voyages (Douches municipale, Akwa), Garanti Express (deux églises, Akwa), Finexs voyages (Douche municipale, Akwa), Buca voyages (Mboppi), Général voyages (Bepanda Tonnerre).
Toutefois, celles qui ne figurent pas dans cette liste doivent rejoindre indubitablement et sans délai, les gares routières de Sodiko à Bonaberi ou de Madagascar en attendant la construction de deux mégagares routières à Ndobo et Yassa, les sorties Est et Ouest de la ville de Douala annoncées par la communauté urbaine de Douala (Cud).
Follow