Donc, c’est Arnaud qui va s’y coller, sans avoir eu comme son frère l’éducation ad hoc pour éviter les gaffes. Et sa femme, cruche et trop gentille, se laisse rapidement manipuler, infantiliser par sa reine de belle-mère (Catherine Deneuve) et le conseiller de la couronne (Michel Aumont).
La fin est dévoilée dès le début (dommage pour moi !) Armelle est morte, et des milliers de personnes se pressent devant l’église où l’office est célébré.
Mais alors, comment en est-on arrivé là ? That is the question …
D’abord, la célébrité : Trompée par son mari, elle décide que c’en est trop, et dans le désordre, s’engage dans l’humanitaire, dénonce son mari aux tabloïds du coin pour passer pour une victime aux yeux du public, décide d’une journée portes ouvertes au palais pour emm… sa belle-mère, se tape son prof de gym, devient odieuse avec tout le monde hors caméra (même ses filles qu’elle utilise pour son image), monte le frère ainé délaissé contre le reste de la famille en insinuant qu’Arnaud est un bâtard que la reine aurait eu avec son conseiller….bon, la reine-mère s’arrangeait bien pour que toutes ses petites amies le quittent en leur faisant croire qu’il avait trois testicules !
La mort, maintenant : En fait c’est un accident bête sans aucun intérêt narratif, elle devait sauter à l’élastique devant les caméras, mais on lui a accroché l’élastique de Pavarroti… pas adapté, elle rebondit un peu trop !
Ca casse pas trois pattes à un canard, quelques gags semés, bien lourds, mais ils sont encore plus méchants sur allociné.
Choisis ton arme et flingue la fin du film
éààçôéééééééà
éàééà