Si une personne nous fait du mal, nous agresse, nous blesse, ou encore nous humilie, notre la première réaction est toujours instinctive. Elle peut être faite de colère, de sentiment d'impuissance, d'injustice, et nous dévalorise. On ne choisit pas cette réaction car elle vient toute seule, spontanément. Si le responsable pouvait payer pour le mal qu'il a causé, il y aurait au moins un semblant de justice. Mais cela reste toujours inéquitable car, à nos yeux, le geste est irréparable. C'est pour cela que nous tentons de punir le coupable et que nous souhaitons qu'il lui arrive malheur. Il nous semble alors que la vengeance rétablirait quelque peu l'équilibre.
Si une personne nous fait du mal, nous agresse, nous blesse, ou encore nous humilie, notre la première réaction est toujours instinctive. Elle peut être faite de colère, de sentiment d'impuissance, d'injustice, et nous dévalorise. On ne choisit pas cette réaction car elle vient toute seule, spontanément. Si le responsable pouvait payer pour le mal qu'il a causé, il y aurait au moins un semblant de justice. Mais cela reste toujours inéquitable car, à nos yeux, le geste est irréparable. C'est pour cela que nous tentons de punir le coupable et que nous souhaitons qu'il lui arrive malheur. Il nous semble alors que la vengeance rétablirait quelque peu l'équilibre.