Auteur : Nicolas Cluzeau
Éditeur : Nestiveqnen Éditions
Pages : 296
Genre : Fantastique
Parution : 1998
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Description de l’éditeur :
Les vastes contrées de Nordhomme viennent enfin de se libérer du joug de l’Empire Latte, et c’est un pays fier mais fragile que parcourent Starkad et ses amis. Les paysages grandioses du Nord réservent parfois quelques surprises, et le groupe de cavaliers ne tarde pas à tomber dans une embuscade tendue par des détrousseurs sans scrupules qui usent de magie. Alors que la bataille fait rage, le chef des bandits, une créature fantastique créée par un magicien fou, tente de s’enfuir et Starkad se lance à sa poursuite. Mais il s’aperçoit rapidement que sa course l’a conduit dans un pays qui n’est déjà plus le sien…
Mon Opinion :
5 out of 5 stars
Un livre très prenant, où on entre dans un univers de fantaisie très bien ficelé avec de nouvelles créatures, sorts et philosophie, cela fait du bien de temps à autre de sortir de l’héroic fantasy traditionnel !
Dans ce premier roman, on entre dans l’univers de Nordhomme, où l’on suit une compagnie du roi parti pour faire une certaine mission que l’on n’en saura guère beaucoup plus dans ce premier opus… En route ils rencontrent un groupe de brigands et décident de leur régler leur compte, mais cela ne tournera pas comme ils l’avaient pensé… Le chef du groupe des cavaliers et celui des brigands ce retrouveront dans le monde des fées où ils devront s’allier ensemble bien malgré eux pour y survivre…
Un monde bien différent du nôtre où magie, créature et nature semble ne faire qu’un et où les lois de la nature et de la survie passe bien avant la lois du mercantilisme et du désir simple, du moins de façon générale, si l’on peut dire cela… Les épreuves que les deux héros devront subir sont tous très bien contés et on en redemande, il est très facile de lire le livre en peu de temps, tellement l’histoire nous immerge bien dans le monde avec ces descriptions très détaillés qui nous font presque sentir comme si l’on était sur place…
Au final, le livre nous laisse sans voix, car l’on ne sait guère trop où la suite nous mènera et on a plus de question à la fin du premier livre qu’au tout début… Cruel qu’est cette façon de faire, mais très ingénieuse en même temps, car on ne peut que rapidement avoir le goût de s’empiffrer le second volume de cette histoire !