genre: horreur, slasher (interdit aux - 12 ans)
anneé: 2005
durée: 1h25
l'histoire: Il y a 30 ans, Robert Hyde est mort lors d'un bizutage organisé par des garçons de la confrérerie des Delta Boys. L'âme de Hyde prend alors possession de Becky: il peut alors organiser sa terrible vengeance.
la critique d'Alice In Oliver:
On nous a fait le coup des étudiants qui tuent accidentellement un pauvre mec sur la route (Souviens-toi l'été dernier), ou encore celui des cinéphiles qui prennent les films d'horreur trop au sérieux (Scream) mais pas encore le coup du bizutage qui tourne au drame, et donc au meurtre !
C'est donc le pari que tient Bizutage Mortel (déjà, quel titre ridicule !), réalisé par un certain David DeCoteau, déjà responsable de quelques bisseries nanardeuses.
Rassurez-vous, David DeCoteau est égal à lui-même. Par là, comprenez qu'il est toujours aussi mauvais et qu'il signe une véritable purge à classer parmi les abominations du cinéma.
Ici, un jeune étudiant, Robert Hyde, est victime d'un bizutage... euh... mortel... Un meurtre accidentel ou presque, commis par quelques garçons sous l'emprise de l'alcool.
Ce drame a eu lieu en 1975. Pourtant, 30 ans plus tard, sans que l'on sache pourquoi, l'esprit vengeur de David Hyde refait surface.
Il prend possession du corps d'une jeune étudiante, Becky, qui assassine un par un les descendants des garçons criminels.
Complètement débile !
Mais la médiocrité de Bizutage Mortel ne s'arrête pas là... Oh non ! En effet, Bizutage mortel est avant tout un slasher gay. Je m'explique...
Le film nous donnera le droit à une séquence de 15 minutes se déroulant dans les vestiaires des garçons, et plus précisément sous les douches !
Attention alors aux gros plans sur les torses imberbes de nos jeunes minets qui déroulent leurs pectoros et leurs muscles d'acier: on se croirait presque dans une pub pour un shampoing périmé !
Note: