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{CLASSEMENT} - 12 - The Office (Saison 7)

Publié le 19 juillet 2011 par Delromainzika @cabreakingnews

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{CLASSEMENT} - 12 - The Office (Saison 7)


A l'instar de Parks & Recreation, j'ai découvert cette série cette année. Et quelle erreur de ma part d'avoir mis autant de temps à me décidé à la voir. Il faut dire, que j'ai eu le soutien nécessaire derrière pour m'y mettre. Et je ne regrette pas. Bien au contraire, j'en redemande. La saison 7 de The Office aura connu des tas de changements, notamment à sa direction : Steve Carrell quitte la série au beau milieu de la saison, laissant derrière lui son personnage de Michael Scott, excellent exemple de ce que les comédies savent faire de mieux outre Atlantique. Je crois que sans lui, The Office n'aurait pas le même sens, il y a d'autres personnages certes mais c'est presque une ode entière dédiée à un emblème : Steve Carell. Cet acteur est la plus belle révélation comique de ces dernières années, car avec son rôle et son personnage il a su prouvé qu'il pouvait être sur plusieurs plans à la fois. Il est impressionnant et je l'adore. Oui, c'est un cris du coeur.
Mais la série connaît également quelques bonnes intrigues et surtout des développements autour de personnages. C'est ce que la série fait depuis le début, développer ses personnages et les intrigues. D'ailleurs, c'est souvent faire avec intérêt et parcimonie. Il y a des ratés, c'est logique et chaque série apprend de ses petites boulettes. The Office en fait presque une force. Même les pires épisodes n'arrivent pas à être nul. C'est une série qui ne connaît pas ce qu'est le mot échec. C'est une grande force. En tout cas, les différents personnages et notamment le duo Pam et Jim trouvent une dynamique à la fois comique et émouvante. Eblouissante et troublante est la relation de Pam et Jim. Je suis souvent étonné. Il y a une légèreté certaine, mais également plein d'amour et c'est comme s'installer confortable dans les bras de quelqu'un.

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Il y a aussi Dwight, ce (presque) cinglé qui parfois va même être incohérent dans ce qu'il dit et fait. Il y a des intrigues où on croirait qu'il est cinglé. Notamment avec Angela. Ces deux là sont complètement tarés. J'adore l'esprit du personnage et ce que les scénaristes veulent faire. C'est qui est excellent avec cette sitcom c'est qu'il n'y a pas de personnages secondaires, même les plus petits et peut être pour vous insignifiants ont droit à leurs moments de gloire. C'est fou comme on peut en 20 minutes faire des tonnes de choses. Les scénarios sont effarants. A la fois complexifié par des intrigues souvent alambiqués mais tenant debout comme un pâtissier réussirait à faire un dessert parfait, les scénaristes font partis de cette lampe polie et lustrée dans la salle d'écriture. Le développement des personnages est une chose mais c'est fait avec délicatesse. On a souvent envie de les prendre dans nos bras. Au final, avec un bon moment passé en la compagnie de ces personnages que j'adore et serre dans mes bras, je reste heureux.


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