Alphas // Saison 1. Episode 2. Cause & Effect.
Après un pilot passable mais distrayant, la série revenait de plus belles avec un nouvel épisode. Celui ci était plutôt correct, bien que les flashbacks autour du méchants de l'épisode m'ont un
peu saoulé. Surtout que Lee Rosen est pas vraiment le personnage le plus intéressant vu que c'est qu'un docteur et qu'il n'a aucun pouvoir. Alors certes c'est bien gentil de nous tourner ça à la
X Men, mais vu les moyens assez peu convainquant mis dans la plupart des effets, je dirais qu'on est en face d'un truc ridicule. Mais le divertissement est une fois de plus au rendez-vous.
L'intrigue se déroule autour d'un Alpha qui s'est évadé et qui doit être retrouvé. Il a le pouvoir de créer des réactions en chaîne (ah tiens, cela me rappelle bizarrement l'épisode 3 de la
saison 3 de Fringe tout ça, les scénaristiques sont des travestis de bas étage, non mais !). Bref, j'ai trouvé le déroulement de l'intrigue assez bien. Notamment sur les quelques scènes d'action
que l'on retrouve. Cela permet de ne pas piquer un somme quand on en vient à ces fameux flashbacks ridicules. Oui. C'était vraiment catastrophiques, enfin, pour celui de la partie d'échec. David
Strathairn n'est pas Professeur X voyons, quelle idée de nous le jouer à cette façon.
Au final, "Cause & Effect" a ses atouts. Cela reste moyen comme série. Et je persiste mais j'aurais préféré Mekhi Phifer à la place de Malik Yoba. Je trouve que ça lui va tellement bien ce rôle bref. L'arrivée de Mahershalalhashbaz Ali (vous vous souvenez des 4400) dans le rôle d'un nouveau personnage. Pour le moment, il ne sert pas à grand chose. Reste donc le divertissement, cet épisode m'a pas forcément donné envie de voir la suite, mais ça reste accrocheur pour l'été. Tant que la série ne devient pas le défaut d'elle même.
Note : 5/10. En bref, un épisode potable et plutôt correct avec du divertissement, et ce, malgré quelques mauvaises idées par ci par là.