Il expliquait en son temps ce qu'était pour lui l'âme de la gauche française à travers les siècles : "le coeur battant de Paris chaque fois que la France est soeur de la Justice".
Alors que l'Histoire s'accélère et que les ravages du "tout-marché" et du "tout-religieux" étendent leurs ravages, il est temps de se réapproprier les vocations respectives des deux ventricules de la politique de l'hexagone. Le petit jeu des politiciens doit laisser place au Salut Public des sauveteurs du Bien Commun.