Ca s'étripe avant d'avoir commencé, à Avignon
"Poujadisme" ! disent les uns.
Ca se dit les choses en face, à Avignon.
"Cette œuvre est un plat si indigeste qu’elle pourrait vous faire vomir"
On y massacre bien les chefs d'oeuvre, à Avignon.
J'ai pu juger sur pièces.
Mamzelle Julie, tiens.
D'un Strindberg porté sur la rigolade, l'August, car la vie est une maison de correction pour crimes commis avant la naissance, dit-il.
Où la p'tit Binoche fait les frais de nos médisances...
"Ce spectacle est une catastrophe dont on ne voit guère comment elle pourrait être réparée"
... et j'en suis.
Juju n'évoque pas "la Sophie de la comtesse de Ségur" comme la grande Adjani , une capricieuse. Mais pire.
Elle est très Tristane, quand aurait dû suggérer l'autre affaire, son succédané, les RAPPORTS SOCIAUX DE DOMINATION.
Jeune femme paûmée, en robe Toto soldes. Point. Se suicide à la fin.
Entretemps, a fait de faux rires, que je peux imiter à la perfection mais c'est un blog, on ne s'entend pas. Le même faux rire 20 fois, pas de crescendo, de retenue, de pause, ahahahahahahaha. 20 fois. Crève.
On priera les metteurs en scène de ne jamais accéder à ses désirs. Quand même.
"Je voudrais bien qu’on me propose de jouer le Cid dans la Cour d’honneur" dit-elle.