La terre
A L'aube de ce beau matin ensoleillé
Ne sachant pas ce qui s'était passé
A l'orée de ce bois je me suis réveillé
Je me sentais, tels que abandonné
Puis par une odeur je fus attiré
La senteur des fleurs me parcourent.
Je rentrais dans le bois qui étais frais
parmi tous ces marronniers
Sur une branche seul, un petit geai
Il était beau je regardais
Ce petit oiseau qui m'émerveiller
Belle nature enchantée.
Bientôt je ne pourrais plus m'en aller
je suis pris dans un tourbillon
Comme une rivière enlacée.
Qui ne voudraient pas vous lâcher.
De la nature je suis prisonnier
L'angoisse me monte au nez.
Il va falloir pourtant que je m'en aille
Car je sais que plus loin on m'attendait
Si je reste, je serais enivré
Coincé par toutes ces beautés
Sur cette terre embaumée
Il ne faut pas le polluer.
Bonheur d'être parmi toutes ces fleurs
Se rouler dedans, le corps nu
N'être qu'un dans cette lueur
Du soleil qui fait bon au coeur
Bonheur d'être parmi toutes ces fleurs
Dans être ému et je pleure.