Merde au con
On ne va pas crier haro sur les féministes et Gisèle Halimi et Christine Boutin parce que la femme de chambre du Sofitel de New York aurait menti. Mais avouons qu'à trop vouloir démontrer elles en deviennent bien souvent casse-couilles. C'est ainsi que les hommes, cette race immonde, seraient porteurs de tous les péchés de chair. Ils seraient dévergondés, infidèles, obsédés. Les hommes, oui les hommes. A croire qu'ils pèchent en autonomie, entre eux ou en solitaires. Homo ou onanistes. Oubliant les femmes au couvent. Ou à l'hôtel des fausses-culs. Merde au con. Aujourd'hui je me branle.
L.F.