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Palmarès Interblogs : les Coups de cœur de la Ciné-blogosphère

Publié le 16 juillet 2011 par Vance @Great_Wenceslas

PIC 2011

Une synthèse par Vance

En marge du classement mensuel, je vous propose de faire un tour chez nos contributeurs afin d’y découvrir ce qui les a fait vibrer au cinéma récemment.

Beginners, de Mike Mills.

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New Kids on the Geek a aimé et ne prive pas de le souligner avec toute l’exhaustivité et la sensibilité qui la caractérisent. Un article très complet et agréable à parcourir, qui convaincra les plus réticents.

Note moyenne au Palmarès : 3,35 pour 13 votes.

Extrait : Beginners est un joli coup de coeur. Une bouffée d’amour accompagnée par une bande originale sublime et deux acteurs splendides. Loin de moi l’envie de comparer, de parler du fond, du scénario, de me lancer dans un blabla de critiques, j’ai pas la plume pour et c’est pas mon truc. J’ai juste l’intention de partager le nuage de bonheur que j’ai ressenti devant le long métrage de Mike Mills.

Un voyage à travers ses souvenirs, ses échecs sentimentaux et son modèle parental.

Cliquez pour lire l’article intégral d’Audrey/3MoopyDelfy


Ni à vendre, ni à louer de Pascal Rabaté.

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La Fée Paradis se faisait rare sur la blogosphère, mais elle n’en a pas moins tenu à saluer les œuvres qui l’ont fasciné et séduite. Ce fut le cas pour ce film qui n’a pas fait l’unanimité ni empli les salles, mais dont l’originalité a plu à certains, en attendant les autres.

Note moyenne au Palmarès : 4 pour 3 votes.

Extrait : Comme Les Petits Ruisseaux, ce film est absolument génial, fin, drôle et sensible. Aucune parole,  quelques bruitages très réussis et surtout, un scénario, une mise en scène, une BO et des acteurs parfaits.

Cliquez pour lire l’article complet de Fée Paradis.


Tomboy, de Céline Sciamma.

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Guillaume est encore moins présent que la Fée Paradis, mais lorsqu’il revient animer son blog J’avais trop de trucs à rêver la nuit dernière, il n’y va pas de main morte. L’occasion pour lui d’expliquer avec la manière – et à travers l’analyse d’une émission de radio -  pourquoi Tomboy est une véritable réussite, et un incontournable du cinéma français de 2011, et de crier par la même occasion son incompréhension face à la bêtise humaine.

Note moyenne au Palmarès : 3,94 pour 15 votes.

Extrait : Il me reste à ajouter que la réalisation de Céline Sciamma a une espèce de force de l’évidence qui, toutes proportions gardées, me rappelle Howard Hawks. Alors bien sûr on est en 2011, je ne parle pas de la légendaire sobriété hawksienne dans le choix des moyens visuels, qui est morte avec lui, ou peut-être avec Eric Rohmer (vous me direz qu’il reste Jean-Marie Straub, mais c’est autre chose). Je parle de cette impression, à chaque plan, que si la caméra est là, ce n’est pas parce que c’était le meilleur choix possible, c’est parce que c’était le seul.

Cliquez pour lire l’article complet de Guillaume Bardon.


Une séparation, d’Asghar Farhadi.

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Chris666 ne s’enflamme que très rarement : il est même l’un des blogueurs les plus sévères. Lorsqu’en revanche il trouve son bonheur, c’est signe que le film vaut le détour. A vous de juger, mais Une séparation fait partie incontestablement des films majeurs de l’année 2011, comme l’ont attesté les membres du jury de la Berlinale.

Note moyenne au Palmarès : 4,12 pour 13 votes.

Extrait : Le film est un bijou conceptuel, éthique et esthétique. Asghar Farhadi semble touché par la grâce et manie sa caméra sans ostentation, mais avec une précision chirurgicale et des idées brillantes (le générique de début à la photocopieuse, la première scène ou le spectateur tient la place du juge, les jeux de reflets durant tout le film).

Cliquez pour lire l’article complet de Chris.


Melancholia, de Lars von Trier.

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La nouvelle refonte de l’excellent Filmosphere n’a pas empêché Niko d’afficher ses coups de cœur, car il en a eu encore – et nous savons à présent combien ses choix sont sûrs et ses articles bien étayés. Jugez-en par vous-mêmes et ce, même si vous faites partie des détracteurs de von Trier, réalisateur qui a fait le buzz davantage pour ses propos que pour les qualités de son film. En son temps, Antichrist  avait également partagé la blogosphère…

Note moyenne au Palmarès : 3,82 pour 7 votes.

Extrait : Melancholia est un film d’une richesse incroyable qui se prêtera, tel Antichrist, bien volontiers à l’analyse, et dévoilera des trésors. Mais c’est aussi, et peut-être surtout, la plus belle illustration de la fin du monde au cinéma, entre naturalisme et mystique, et une évocation féministe fascinante.

Cliquez pour lire l’article complet de Niko.


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