La fange de l' aficion

 A préciser le niveau pitoyable de certains sur un forum soit disant taurin qui, parlant des cornadas de Juan Mora à Pampelune, demandent si Mora est cocu. Mais plus rien ne m' étonne de la part d'aigris qui ne se complaisent que dans la critique de tout ce qui leur est extérieur. Quant à l' humour, mieux vaut garder cela pour ceux qui en sont capables. Le pot aux roses ne sent pas la rose.....

Et puis, le jour de son alternative, on prend Thomas Dufau pour cible. Qu' on apprécie son toreo ou pas, il y a des limites à la décence. Ils n y seront pas, tant mieux, car ils ne savent même pas respecter quelqu' un qui joue sa peau pendant qu'eux tapent dessus, le cul au chaud devant leur ordinateur.

Heureusement on ne les voit que trés rarement dans les arènes et quand ils y sont, c'est un concert de vulgarité (vidéo de Céret à l'appui) ou dans un état d'ébriété qui leur permet de mieux juger que les autres.

Pour et pour le  reste, ils font comme certains chroniqueurs qu' ils critiquent, ils jugent à 700km. Mais finalement tout ça est bien secondaire quand on voit qu' ils ne sont qu' une petite dizaine à se monter le bourrichon entre eux. Quand on voit des arènes de 20000 personnes pleines pendant 8 jours à Pampelune (même si je le concède, une partie au sol, n'est pas non plus là pour la corrida, mais sait respecter les toreros de la classe d' El Juli ou les drames comme celui de Mora....nuances)

Ouf, ça défoule ! 

(Je remercie celui qui régulièrement pontifie et s'écoute parler - ou plutôt écrire (faute volontaire) de corriger mes fautes qui sont souvent dues à la précipitation. Il sait - ou croit - se montrer intéressant Néanmoins, la forme ne change pas le fond.....et là l!!!....Je suis toutefois triste de savoir que des milliers de gens lisent mes fautes quotidiennement et préfèrent s' intéresser aux sujets traités sans jamais me faire remarquer des fautes d'accord. Heureusement que l'aficion comporte 10 incorruptibles, de quoi remplir une confidentielle plaza privée où tout serait idéal. Mais cessons de rêver !)