Mais le pire reste peut-être à venir. Christophe de Margerie a en effet mis en garde contre un excès de naïveté, rappelant que, "par définition", le marché de l'énergie est un marché "qui se rétrécit", ce qui explique selon lui la hausse inéluctable des prix. Doit-on d'ores et déjà se faire à l'idée d'une croissance économique basée sur un pétrole de plus en plus cher ?
Un pétrole cher, oui, estiment les spécialistes, mais tous n'ont pas la même idée du seuil qui conduirait à un changement de paradigme économique.