Une sérénade oriental
une étreinte brulante chevauche,
A travers les plaines sinueuse,
L'ami à passer L'arme à gauche
Cette canaille n'étais pas pieuse
A quoi bon courire et se farder,
Quand l'horeure et routiniére,
Les maraudeurs pillent nos années,
Des générations épousent la misére..
Pactisant avec la potence,
L'effroie s'accouple à nos nuits,
Pris en otage sous la démence,
Entouré par de puissant dénis...
Les façades se teintent de sang,
L'illusion à bondis du berçeau,
Nos nourissons en sanglot,
Prie une futile libération..