correspondance, je n'ai pas réussi à décoller de l'image de l'échange épistolaire.
La correspondance m'évoque des paquets de lettres cachetées de cire, reliées d'un ruban, avec une écriture élégante sur les enveloppes, porteuses de promesses et de nouvelles.
C'est aussi des timbres oblitérés multicolores provenant des quatre coins de la planète, précieusement rassemblés dans des albums à la reliure de cuir au parfum lourd. Je revois le dos de mon grand père avec sa pince à épilé, assis penché à son bureau.
Je sens l'odeur des papeterie, je vois les étalages de beau papiers épais et texturés...
Route épistolaire
Rien de disponible aisément à mettre sous mon objectif curieux. Cette semaine était vouée à d'autres activités, moins rêveuses, mois artistiques. Tant pis.Je me rabats sur l'immédiat, une boîte aux lettres. Paas évident d'en trouver une dans Paris !
Elles sont souvent disposées façon HLM, serrées dans un hall d'immeuble avec un éclairage artificiel tout moche.
Trouver une boîte aux lettres seule, avec un charme particulier de petites maisons individuelles mignonnes et originales relève du miracle.
Planquée au fond de la cité Véron, j'ai trouvée la fente à clapet qui serait top modèle d'un instant.
Et voilà, j'ai retenue la seconde même si, j'ai un faible pour l'esthétique de la première. Mais là encore, je ressens cruellement les limites de mon petit lumix. Pour les informations techniques, cliquer sur les photos.
Dans l'attente de vous lire...
Copyright : Marianne Ciaudo