genre: science fiction
année: 1954
durée: 1h20
l'histoire: En charge d'un projet de mission spatiale, le Docteur Harrison traîne ses pieds faute de réussir à résoudre un point épineux. En effet, la mission est trop risquée pour expédier un être humain dans une fusée. Il fait alors la connaissance de Nordstrom, qui vient de créer un robot très particulier.
la critique d'Alice In Oliver:
Certes, Tobor The Great, réalisé par Lee Scholem en 1954, a tout du film vieillot et complètement dépassé par la technologie actuelle.
En même temps, ne l'oublions pas, Tobor the Great, a été produit au début des années 50. L'homme n'a pas encore voyagé sur la Lune et la conquête spatiale reste un rêve difficile à accomplir.
C'est d'ailleurs le scénario de Tobor the Great. Un scientifique, le Docteur Harrison ne parvient pas à trouver le moyen d'envoyer des hommes effectuer une mission spatiale.
Cependant, tout espoir n'est pas perdu. En effet, Harrison fait alors la rencontre d'un chercheur étrange et excentrique, un certain Professeur Nordstrom.
Ce dernier a inventé un robot révolutionnaire, Tobor. La machine est commandée à distance et a la capacité de réflèchir par elle-même.
Si l'homme n'est pas capable d'aller dans l'espace, Tobor pourra accomplir les missions à venir.
Malheureusement, malgré un scénario correct et prometteur, le film de Lee Scholem souffre de son budget minimaliste.
A partir de là, les acteurs, plutôt quelconques dans l'ensemble, sont condamnés à bavarder. Tobor the Great est donc un film particulièrement ennuyeux.
En vérité, tout le charme de cette bisserie repose sur sa boîte de conserve de service qui, par son aspect, n'est pas sans rappeler celui de Planète Interdite.
Malheureusement, la comparaison s'arrête bien là. Il faut bien le reconnaître, la machine ne fait pas grand chose.
Il faudra attendre le dernier quart d'heure pour voir un peu d'action, de suspense et de tension. Sinon, c'est tout ? Oui, c'est tout...
Note: 04/20
Note naveteuse: 14.5/20