Votre musique du moment ?"I wanna go" de Britney Spears.
L’objet que vous aimez offrir ?Surtout pas un livre. Je ne veux pas refiler mes services de presse. Des fleurs parce que j’aime assister à la scène : « Chéri, où as-tu mis le vase ? ».
Le classique qui vous tombe des mains ?Si c’était vrai de Marc Lévy.Un objet fétiche ?Aucun. L’objet n’est pas pour moi un sujet.
Pourquoi écrire ?Parce que c’est une nécessité absolue. Ticket d’entrée est mon huitième ouvrage. Il m’est arrivé de ne pas écrire pendant six ans. J’encourage d’autres écrivains à faire de même…
Un bar favori dans Paris ? La Gouttière, avenue Parmentier.
Votre film culte ?"Sleepy Hollow" de Tim Burton. Je ne sais même plus combien de fois je l’ai vu.
Un musicien ?Purcell. Je donne tout pour « O Solitude ».
Une librairie inévitable ?Les mots à la bouche à Paris. Les libraires sont ici des saints laïcs (enfin, presque).
Un moment inoubliable ?Deux moments : La naissance de mes enfants.
Un artiste hors du commun ?Shakespeare. Who else ?
Écrire en musique ?Toujours. Suivant le passage, j’écoute Bach ou Gwen Stefani. Russel Banks a écrit de très belles pages sur le lien entre l’écriture et la musique.
Pourquoi lire ?Parce que libre et livre ont la même étymologie. (Ce n’est pas vrai mais j’aime à le croire).
Un cinéaste ?Peter Greenaway
Un artiste à voir en concert ?Juliette.
Un lieu fabuleux ?Ma chambre.
Un écrivain ? Jay McInerney.
D’où est venue l’idée de ce Ticket d’Entrée ?De l’époque grotesque, obscène et cruelle dans laquelle nous évoluons depuis quelques années.
Votre actualité ?Une nouvelle édition remaniée de Montaigne notre nouveau philosophe. Après Plon et Les Mille et une nuits, cet essai « à sauts et à gambades » sort, en septembre, aux éditions de poche du CNRS. Et la suite de Ticket d’entrée, car il y en aura une…
Merci Joseph d'avoir accepté de répondre à ce Bazar de questions !