Lorsque je vais à Toulouse, pendant une ou deux semaines chaque année, je travaille tout près de la basilique Saint-Sernin, grande église romane du XIe siècle, connue pour ses reliques de nombreux saints, et donc étape précieuse pour les fidèles et pèlerins sur la route de Compostelle.
La curiosité et la chaleur toulousaine m’ont conduit plusieurs fois dans ce lieu frais et reposant. J’y retrouve, avec le Maître-autel, le faste édifiant, la richesse ornementale propres aux monuments catholiques, mais aussi l’austérité des temples protestants dans les vaisseaux latéraux, mais encore quelques réminiscences de la Mezquita de Cordoba, avec l’alternance de la…