Pas de doute donc, compte tenu de l’inutilité chronique de cette catégorie de « thérapeutes » de l’âme (si elle existe et s’ils l’ont rencontrée), il n’y a qu’une solution permettant d’allier l’utile à l’agréable: tous les enfermer.
On gagnerait ainsi en tranquillité carcérale, en notes d’honoraires remboursées et surtout en amélioration de la santé publique.
Sauf qu’en augmentant ainsi la population carcérale, on augmenterait la « demande » en psys de tous poils, navrante et funeste conséquence.