genre: horreur (interdit aux - 12 ans)
année: 2005
durée: 1h30
l'histoire: Un groupe de jeunes, fan de jeux vidéos, reçoit une invitation pour participer à une partie multijoueurs. L'endroit où doit se dérouler cet événement est un vieux manoir reculé. Très vite, la partie va tourner au cauchemar...
la critique d'Alice In Oliver:
Fin de la saga (pour le moment...) Hellraiser avec ce huitième, et espérons-le, dernier chapitre, intitulé Hellraiser Hellworld, réalisé par Rick Bota en 2005.
Ce cinéaste est derrière la franchise depuis le sixième épisode. Et sincèrement, Rick Bota a mis un point d'honneur à gâcher la saga.
C'est d'autant plus dommage qu'Hellraiser 5 avait relancé un regain d'intérêt.
Toutefois, depuis Hellraiser 6, la franchise s'est enfoncée dans le grand n'importe quoi. D'ailleurs, ce n'est pas un hasard.
Rick Bota réalisera le septième et le huitième opus la même année. Je n'ai pas vu Hellraiser 7, mais sincèrement, je crois que je vais m'en dispenser.
En attendant, Hellraiser Hellworld est probablement le plus mauvais épisode de la saga.
Franchement, on atteint ici les plus profonds précipices de la médiocrité. En résumé, il ne reste plus rien de l'esprit du premier film, signé Clive Barker, en dehors du fait que Pinhead et ses sbires sont présents. Pour le reste, Hellraiser 8 met à l'épreuve des jeunes, fans de jeux vidéos.
Voilà un scénario qui ne colle pas du tout avec l'univers de la franchise. Mais peu importe, pour Rick Bota, le but est de signer un film d'horreur outrancier et d'une rare vulgarité.
Nos jeunes héros sont donc invités à participer à une partie de jeux vidéos dans un manoir hanté et isolé. Bien sûr, une fois sur place, ils doivent affronter Pinhead et ses démons. A noter la présence de Lance Henriksen, dont la présence ne sauve malheureusement pas ce navet d'un ennui profond.
Que dire de plus ?
Note: 0/20
Note naveteuse: 16.5/20