Résultat: Les Montréalais pourraient fort bien débourser l’équivalent de 7400$ pour chacun des 5000 BIXI en ville. La cheffe de l’Opposition, Louise Harel, demande judicieusement s’il ne serait pas finalement « moins coûteux d’acheter un vélo à tous ceux qui en veulent un à Montréal ».
Le seul volet qui semble rentable demeure celui international. Le VG rappelle néanmoins qu’il est illégal pour la Ville d’acquérir ou de vendre des vélos à l’étranger. On devra donc se départir de la seule chose potentiellement profitable de toute cette opération.