Un détour par CoZop vaut la peine, il est l'enfant en version alpha encore de Carlo Revelli (AgoraVox), et de Bertrand Couturier et Thierry Crouzet (Le peuple des connecteurs, notamment).
Voici en résumé ce qu'en disent actuellement ses pères: "coZop est une zone de coopération : une sorte de club de lecture géant, un espace de « social reading ». Quand un de vos amis lit un article, coZop suppose que cet article peut vous intéresser. coZop apprend à vous connaître pour vous délivrer les articles qui vous conviennent le mieux. Par rapport aux agrégateurs d'ancienne génération, coZop est totalement automatique. Vous vous contentez de lire, de noter les articles et de les commenter comme sur n’importe quel autre magazine en ligne. Quand vous lancez une recherche sur coZop, le résultat sous forme de magazine dépend de vous et de votre histoire de lecteur. coZop a pour mission de trier automatiquement l’information et de vous éviter le piège du « trop d’info tue l’info ». Pour atteindre cet objectif, coZop republie dans leur intégralité les contenus dispersés sur le web. Les auteurs sont rémunérés au prorata des revenus générés par leurs contenus. Ils peuvent encaisser leurs revenus et ont la possibilité d'en reverser part ou totalité en faveur de causes comme la fondation Wikipedia ou Reporters sans frontière. Toutes les associations volontaires pourront s'incrire sur coZop, ainsi que des projets de nature diverses qui cherchent des financements. À ce titre, les auteurs pourront réinvestir dans coZop et en devenir les actionnaires ." Intéressant, non ?