Chronique // Stereotypical Working Class

Envie d’un bon rock comme il n’en existe plus ? Celui que j’écoutais (e) durant mon adolescence, celui qui nous rappelle nos premiers festivals, celui qui nous fait vibrer dès les premières notes ? Alors n’attendez plus, procurez-vous TOUS les albums de ce groupe lyonnais : STEREOTYPICAL WORKING CLASS (S.W.C).
Pour ma part, je les ai découverts lors d’un festival belge avec leur second album Sans repères. Ma première réaction a été : woaw qu’est-ce qu’ils en jettent ! Un live digne de ce nom. Les gens bougeaient sans connaître les chansons et l’émotion était au rendez-vous !
Après le concert, je me suis empressée d’acheter cet album. Celui-ci fût, bien entendu, une véritable (re)découverte ! J’ai ensuite suivi le parcours des S.W.C.
En 2008, STEREOTYPICAL WORKING CLASS sort un nouvel album, Station Of Nowhere. Celui-ci reprend des chansons des précédents albums en version acoustique. Cet album permet de découvrir une autre face des S.W.C, plus calme mais tout aussi énergique et remplie d’émotions.
En 2009, ils ont sorti leur dernier EP Day after day dans lequel on retrouve un côté un peu plus américain (pas étonnant, ils ont enregistré à L.A sous la direction de Mark Trombino -Blink182, Finch, …- ) mais nous y retrouvons toujours la touche des S.W.C !
Ce groupe a également collaboré avec de nombreux noms du rock : Pleymo, Watcha, No One Is Innocent, Eths et j’en passe (il y en a tellement à citer !).
En attendant les nouvelles aventures des S.W.C, remplissez vos oreilles de toutes ces belles mélodies, de cette belle voix, de cette belle énergie !