Non content d'empoisonner la gauche, ce couillon-là favorise la droite. Depuis 2 mois, DSK occupe le terrain et les gogos avec ses conneries pulsionnelles, sexuelles et financières, et par un effet de dominos, tout se pète la gueule dans tous les sens (imaginez : même Douillet est devenu ministre; même le PS envisage son retour dans la course aux primaires, on croit rêver ! !). Et pendant ce temps, d'autres poursuivent leurs méfaits d'autant plus tranquillement...
Patrick Robert synthétise le cas DSK à merveille, en nous rappelant que certains avaient parlé. Et pour cela, s'étaient fait virer...