Pour rester dans l’eau presque noire, écoutons Colleen.
Ce morceau s’appelle Summer Water, mais il n’évoque pas pour moi le soleil et la plage, mais le clapotis mystérieux et ensorcelant d’une eau profonde, secrète et douce, dans laquelle on aurait envie de sombrer.
Photographie (détail) d’Annette Pehrsson, que j’aime tant.