- Quoi encore ?
- Ben, vous vous rapelez Chef, comment on a dû bloquer Facebook et que certains arrivaient quand même à y accéder via des outils comme Hootsuite et qu'on a dû bloquer le mot Facebook et que du coup tous les sites qui parlaient de Facebook étaient bloqués.
- oui, enfin je vous rapelle que sur ce point, beaucoup de cadres se plaignent du coup de ne pouvoir accéder aux articles de sites d'informations normaux comme Les Echos, Le Monde...Etc.
- oui, d'accord, mais au moins tout est sécurisé et on est sûr que les gens utilisent Internet pour travailler et pas pour faire n'importe quoi ! Comme après, on a dû bloquer les accès aux sites de vidéos et de photos...
- oui, enfin là-dessus, il paraît que les commerciaux se plaignent de ne pouvoir présenter directement les supports visuels des produits et qu'ils doivent transmettre les adresses à leurs clients en espérant que ceux-ci vont les voir.
- ah ben, oui, mais vous m'aviez dit que les gens qui passaient leur temps sur des sides de vidéos ou de photos, c'était trop risqué, rapport au fait qu'ils pourraient consulter des truc de sexes. Et puis après, on avait bloqué les blogs. Malin ça d'ailleurs, on a bloqué tout ce qui parlait de blog...
- oui, enfin là-dessus il paraît que le marketing se plaint de ne plus pouvoir analyser les tendances de fond et ce que les gens disent de nous et de la concurrence...
- oh ben c'est comme les sites de CV en ligne, Viadeo et Linkedin. Vous avez vu, depuis qu'on les a bloqués, il n'y a plus...
- OUI, mais là c'est les RH qui gueulent car ils ne peuvent plus surveiller ceux qui voudraient partir et identifier ceux qui pourraient venir travailler chez nous...
- oui, mais là c'est plus grave Chef, ça recommence ! et cette fois-ci c'est sérieux, c'est Google qui vient de lancer un truc qui s'appelle Google+. J'ai vu des copies d'écrans. ça ressemble vraiment à Facebbok et Twitter, avec en plus des photos, des vidéos. Alors, on fait quoi Chef ? On bloque tout ce qui concerne Google ?
- oui, enfin là-dessus, je dois voir le Président qui m'a convoqué pour que je lui explique notre politique en matière de sécurité. Il se plaint de ne pouvoir accéder à rien. Je vous revois à mon retour.