« Personne aujourd’hui n’a envie de travailler deux heures le matin, deux heures le midi, le mercredi et le week-end. »
Donc on réorganise, on met du nouveau matériel (des portillons électroniques) et on supprime 94 postes.
Il s’agit des caissiers des piscines municipales de Paris.
Pas de licenciement sec, mais des départs volontaires et des reclassements avec formation et même primes.
Mais comme on est dans un monde social, avec une municipalité socialiste et riche, on recrute 20 collègues supplémentaires. Pour quoi faire ? L’article ne le dit pas.
C’était dans le TéléObs du 1er avril 2010, page 17 :
"Piscines municipales – Un job à l’eau"
Bon 1er mai à tous et surtout aux 20 chômeurs de moins.