Cette semaine encore, je partage avec vous mes pensées et réflexions sur le monde qui nous entoure.
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Quand je me lève après une brosse, j’ai comme aucune dextérité. Comme un enfant de 2 ans. Je m’enfarge, je me pète la tête dans les cadres de porte, j’accroche et je fais tomber toute dans la cuisine.
C’était vraiment une idée de cave de me mettre chaud la veille de ma première journée comme opérateur de grue. Malgré que la façade du bloc appartement était pas super jolie en partant. Entoucas aujourd’hui je refais mon CV, c’est clair.
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« Tout notre mal vient de ne pouvoir être seuls » a un jour dit le moraliste français Jean de la Bruyère. Je ne suis pas d’accord. Parfois, notre mal provient de ne pouvoir tenir sur un 18 vitesses qu’on a volé en sortant d’un bar un mercredi soir, et de conséquemment se péter les palettes sur le trottoir.
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On peut apprendre beaucoup des proverbes et expressions linguistiques, qui sont souvent un concentré de la sagesse accumulée par les peuples à travers les âges. J’en fais l’étude depuis un certain temps, et j’en apprends vraiment à chaque jour. J’ai vraiment été surpris par contre de la signification de l’expression « mettre la charrue devant les bœufs »: ça a vraiment rien à voir avec faire la botte avec Anne-Marie Losique devant les policiers.