Violence domestique: les voisins du Parti Québécois ont leur voyage

Publié le 07 juin 2011 par Fradette

« Ça crie à longueur de journée, ça se donne des claques sur la yeule. Ils ont beau fermer les fenêtres, on les entend à travers le plancher. Ça a pas de saint-ciboire d’allure ». Les Guindon sont formels: c’est leur dernière année à habiter le logement situé juste au-dessous de celui occupé par le Parti Québécois.

Pierre Curzi tentant de raisonner une jeune militante

« On a tout vécu depuis 30 ans. Lévesque pis Bouchard qui chignent, les psychodrames du ptit Landry, le gros Parizeau qui pitche des cocktails Molotov en passant dans la rue: là ça va faire. En plus, ça fait le lavage de leurs bobettes sales dans l’aire commune en arrière, pis ça laisse leur vidanges sur la galerie pendant des mois. Ah pis la Marois sur un plancher de bois franc en talons hauts, c’est comme le bombardement de Guernica en 1937, maudit caliss », conclut Guindon en se rallumant une Player’s Plain.