Ode à une dame bleu
La nature solaire colore de flammes, la vie
La forge génétique, arme les belles qui se lient,
D'armures rougeoyantes, et affaiblissent les bourdons,
de pointes arrondies, elles désarment les frelons,
La lune crée milles variations sur sa lyre,
toutes en pulsions aux cents fonctions à lire,
A chaque tourbillon de la nuit, se glissent les mailles d'adaptations,
Et dans la fin, tout se régénèrent à l'heure des grillons.
Dans son oeil, la ronde bleu nous couve,
mais entre frères, l'agressivité vitale nous avale,
un pas en avant, et une ombre de passion,
survivre en armes et possessions,
La belle n'aime pas les frivoles,
Elle efface, les êtres perdus, et les cupides,
Milles espèces sont nées, et un souffle a effacé milles générations,
Gardes à vous, dans ce paradis, les ras de marées sont d'invisibles frissons,
La Dame bleu peut arrêter sa musique,
Et dans sa robe de nuées blanche, se cache une lame de fer,
Elle change de larmes en rage, d'amour en colère,
et nous faire danser dans le rouge, d'une marche d'enfer
Postscriptum
Une petite boule bleu, tellement magique !