Et nous avons regardez le jour décliner. Je m'attendais à regarder arriver la nuit noire... mince à minuit, rien de tel encore, plus qu'une nuit claire, une nuit pas encore complète. Alors nous avons juste admirer le dégradé dans le ciel, plus clair là où le soleil se couche. Puis un coup d’œil de l'autre côté de la maison, comme quoi les vérandas aident et nous laissent traverser la maison de part en part. Et là, nous avons observer la nuit dans la rue, avec les réverbères de cette petite ville... une pénombre allumée.
Pas moyen toutefois de savoir de quelle espèce elles sont. Et il fallait une autre sortie nocturne, dans la rue, sous les réverbères, pour les voir avec leur fourrure.
Et puis les bruits de la nuit. Oh pas vraiment sauvages... par une soirée chaude c'étaient les autres humains que nous entendions: barbecue, soirée dansante et musique... et des voitures au loin. Nous n'avons pas rencontré d'autres bruits, d'ailleurs tant mieux celui du moustique ne nous manquait pas. Le lutin encourageait d'ailleurs les petites bêtes à les manger, bien-sûr.
Bon, je me rabats sur la chauve-souris... pas de grésillements sur les vrais, alors la chanson de Thomas FERSEN et l'ouverture de STRAUSS:
De quoi regarder autrement la nuit... et nous rappeler quand elle décline vers l'aube.