The Shadow Line // Saison 1. Episode 6. Episode Six.
Cette série est absolument ahurissante. Je crois que c'est le meilleur épisode de la série et un des meilleurs épisodes de série que j'ai pu voir jusqu'ici cette année. Absolument retentissant,
de multiples morts, de multiples déraisonnements, de multiples changements de direction. Il y a tellement de changement tout d'un coup qui s'opère qu'on est comme torturés. Il est une scène dans
cet épisode qui est déchirante : la mort du fils de Jonah et sa femme. La scène où Peter Glickman le tue (sans faire exprès puisque c'est Gatehouse qu'il visait) m'a estomaqué. C'est rare qu'une
série me prenne aux tripes comme cet épisode l'a fait. J'étais les yeux rivés sur mon écran et plus rien ne pouvait m'en échappé.
Après plusieurs semaines à se demander où Jonah était (dans quel camp) avant de se faire tirer dessus, il découvre enfin la vérité et surtout, quels sont ses ennemis. Il va notamment découvrir
que l'argent qu'il détient depuis le début de la saison sont des billets marqués de la police, qu'ils ont été enregistrés et que la police achèterait de la drogue. Ce complot dépasse
l'entendement. Peter Glickman va d'ailleurs enfin faire face à Jonah et le rencontrer dans une salle de bain d'un hôpital. Il va lui dire quelque chose qui pourrait changer la donne : "Good cop,
bad cop? You think that’s what this is all about - you; drugs; dead cops; Royal Pardons; Harvey Wratten? It’s not about you. It’s not about any of you. You’re all just threads - little, tiny
threads. But if you want to find the rope, there’s only one line for you to follow: the monté".
Du côté de Bede se rend coupable de tromper sa femme malade avec Petra. Tous les deals de drogue ne sont pas les parties les plus enchanteresses. J'aurais aimé un peu plus d'action et surtout que
Bede se retrouve mis la main dans le sac, pour une fois. Il est trop blanc comme neige ce personnage. Ce sixième épisode va mettre encore une fois en avant des scènes longues, pénétrantes qui
force l'âme du téléspectateur à être pris d'assaut. On nous vole nos yeux pour 56 minutes et il faut tenir le choc face à certaines scènes de violences et peut être même de peur (j'ai cru que la
femme de Gabriel allait y passé à l'hôtel sérieusement). Un excellent épisode avec des moments choquants certes mais servant une histoire de main de maître.
Note : 10/10. En bref, un épisode parfait de bout en bout. Rien à redire.