Au revoir Lokan…

Lokan ferme son site, je vous invite de voir COMPLETEMENT sa dernière vidéo où malheureusement il se justifie encore : http://www.lokan.fr/2011/07/03/lokan-fr-le-bilan/, les habitués du site savent ce que Lokan pense du blog et n’ont pas vraiment besoin de voir cette vidéo pour comprendre son choix. Mais, il a fait quelque chose de très instructif pour les blogueurs, ça nous fait réfléchir sur pourquoi on fait un blog, pourquoi on s’investit dedans… A travers de cet article, j’ai un envie de lui faire passer un message :

“Lokan, tu as bien faits bouger les choses, tu peux en être fier, c’est malheureux que les cons qui font malheureusement partie de ce monde aient eu en partie raison de ta santé, car je ne pense pas que tes problèmes soient du uniquement à la traversée des USA. Je suis ton blog depuis le début, je n’ai jamais été très actifs niveaux commentaires, mais j’adorais ce que tu écrivais ou disais, même tes coups de gueules sont intéressant, ils sont moralisateur (mais dans le bon sens). Personnellement, tu m’as toujours faits réfléchir, que ce soit à propos d’internet ou encore de la vie de tout les jours. J’espère que tu vas te rétablir au plis vite et surtout vidé ta tête de tout la mauvaise partie du blog (je parle des cons qui font chier). Personnellement, toi et ton blog vont me manquer, je ne pense pas trouver un autre blog comme le tiens ou qui pourrait s’en rapprocher. Au revoir Lokan, au plaisir de te revoir sur le net ou même te rencontrer en chaire et en os !”

Donc, maintenant, au risque de me faire flinguer, j’ai juste envie de dire quelque chose (à ceux qui ce sentent visés), Internet est devenu un monde plutôt bête, les bons blogs se ferment les uns après les autres, les pourris s’ouvrent sans arrêts. En parlant de ça, j’ai aussi envie de vous inviter à aller voir un article de Matthieu Blanco qui parle d’un autre gros défauts des blogs : http://matthieublanco.fr/blog/13-pensees-perso/106-blogueurs-blagueurs

Bon, je n’ai pas d’autres choses à dires (et pourtant je bouillonne). Pour finir, Loka, je te tire ma révérence !