J’ai un vice ; j’aime les nuls. Ils portent super bien leur nom. Les Nuls, c’est un humour stupide comme j’aime, et quand je vois les Nuls, je suis hyper contente (comprenne qui voudra) La cité de la peur (le film de les nuls) fait parti du cercle très fermé des films ultra cultes. J’ai du le voir 300 fois. Ok je le vend très mal. Mais comment raconter ce film, quand la seule manière de le comprendre est de le voir ? Dans chaque scène se cache un clin d’œil, un détail, une voix de fond, un texte idiot : à chaque fois on le redécouvre. Des phrases chocs (des quoi ?) (des phrases chocs) un serial killer (ha ! un serial killer…), de la Batavia (pour nos amis d’outre-quiévrain) du Skol ofenstru (ha mais non je suis sotte c’est du suédois) du whisky (juste un doigt) et même les meilleures gencives de porc du Littoral… On trouve de tout dans la Cité de la Peur. Mais puisque les images valent mieux qu’un long discours, place aux extrais. Sur ce, je vous laisse, j’ai oublié d’éteindre l’aspirateur.
medlay de répliques stupides avec Serge Karamazov (aucun lien, fils unique) Odile Deray (Deray, odile deray) et Simon Jeremy (qui est venu sans bagage)