La vraie question est de cerner les causes qui conduisent à fabriquer autant de naufragés qu’il convient désormais de secourir !
Etre plus sociaux, plus solidaires c’est bien. Mais il faut aussi et peut être, d’abord débusquer les prédateurs qui se cachent dans les plis de la finance transnationale, avec la complicité de la presse, de la télévision, de la publicité et de cette « élite de caste » oligarchique.
Il vaudrait mieux parler d’instruction publique et non pas d’éducation nationale qui laisse sur le bas côté une cohorte de frustrés sans formation ni diplôme.
Le temps n’est plus à de simples modifications mais bien à un bouleversement de notre façon de penser, de vivre, d’agir avec de nouveaux repères.
C’est à une sorte de révolution qu’il faut penser, une révolution par le mot et le message qui doit être plus violent, plus comminatoire, de manière a ce que la gravité et l’urgence du présent, pénètre la conscience du plus grand nombre de citoyens inquiets de l’avenir de leurs enfants et petits enfants.
Néanmoins, ne soyons pas naïfs ! Il conviendra toujours de veiller à ce que « le politique » professionnel, cumulard de mandat, ne tente pas de récupérer cet élan, pour pouvoir continuer…. comme avant !
Jacques BRILLOT