J'aime, j'aime, j'aime, j'aime, j'aime, j'aime, j'aime. Trop. Et alors quand bien même. Et si je t'aime peut-on dire trop quand on aime ?
Mes pas au rythme des siens, de loin en loin. Et si la fille de l'air n'existait pas ? Et si la fille de l'air était une fille de la terre ? Il faudrait bien alors que je me résolve à lui emboiter le pas. Rembobiner, retour arrière.
Je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime. Des jeux sur le même thème, des châteaux de cartes et des châteaux en Espagne, je peux t'en faire par milliers. Cela suffira-t'il à ce que tu m'emboîtes le pas, passage non imaginé mais somme toute familier ?