Je relisais mon dernier billet (plus rien à faire pendant que le poulet boucane) pour en arriver à la conclusion qu’il y a un troisième gouffre. Celui que les américains ont laissé derrière eux. Les révélations de wikileaks des dernières semaines nous laissent comprendre que les ‘amaricains’ peuvent jouer serrer quand leurs intérêts sont en jeu. En Haïti comme en Irak, à un degré adapté bien évidemment. Donc on a eu nos amis américains qui ont réussi à imposer le candidat Martelly aux deux étapes de la course. Ils sont plusieurs à PAP à penser que malgré la très forte popularité du chanteur, les personnes en mesure de voter ne l’ont pas majoritairement appuyé, que son passage à la présidence a été le résultat d’une pression américaine (rappelons nous ‘svp’ le retrait des visas …). Le peuple l’aime, c’est bien ainsi. Le débat d’hier soir tenu entre amis et autour d’une pizza (pas tout à fait mangeable pour votre information) visait entre autres à comprendre comment les américains qui l’avaient poussé jusque là, pouvaient-ils le laisser tomber aujourd'hui devant les parlementaires de l'Inite ? Comment ils avaient été en mesure de faire reculer l’Inite deux fois dans les derniers mois et que pour le dossier du premier ministre, ils n’avaient plus de menaces à sortir de leur chapeau ? C’est le troisième gouffre. On répète les trois gouffres d’un point de vue strictement pédagogique : Inexpérience de notre président, hérédité magouilleuse des parlementaires et inconsistance des américains. L'espoir sombre dans le gouffre...
Je relisais mon dernier billet (plus rien à faire pendant que le poulet boucane) pour en arriver à la conclusion qu’il y a un troisième gouffre. Celui que les américains ont laissé derrière eux. Les révélations de wikileaks des dernières semaines nous laissent comprendre que les ‘amaricains’ peuvent jouer serrer quand leurs intérêts sont en jeu. En Haïti comme en Irak, à un degré adapté bien évidemment. Donc on a eu nos amis américains qui ont réussi à imposer le candidat Martelly aux deux étapes de la course. Ils sont plusieurs à PAP à penser que malgré la très forte popularité du chanteur, les personnes en mesure de voter ne l’ont pas majoritairement appuyé, que son passage à la présidence a été le résultat d’une pression américaine (rappelons nous ‘svp’ le retrait des visas …). Le peuple l’aime, c’est bien ainsi. Le débat d’hier soir tenu entre amis et autour d’une pizza (pas tout à fait mangeable pour votre information) visait entre autres à comprendre comment les américains qui l’avaient poussé jusque là, pouvaient-ils le laisser tomber aujourd'hui devant les parlementaires de l'Inite ? Comment ils avaient été en mesure de faire reculer l’Inite deux fois dans les derniers mois et que pour le dossier du premier ministre, ils n’avaient plus de menaces à sortir de leur chapeau ? C’est le troisième gouffre. On répète les trois gouffres d’un point de vue strictement pédagogique : Inexpérience de notre président, hérédité magouilleuse des parlementaires et inconsistance des américains. L'espoir sombre dans le gouffre...