Je reprendrai quelques articles et vidéos pour rappeler ce momoent douloureux de l'histoire de l'Algérie;
"Cela commence par une petite phrase sur l’impermanence des choses et des hommes, une réflexion de simple sagesse, et se termine par du bruit, des chaises de théatre renversées autour d’un drapeau algérien taché de sang. .. "L’être humain n’est que de passage ici-bas. La vie est brève, nous devons tous disparaitre un jour", dit doucement Mohammed Boudiaf, assis à la tribune du palais de la culture d’Annnaba. Et son visage jusqu’ici souriant devient grave. Voilà vingt sept minutes que le président du Haut Comité d’Etat parle d’économie, de gestion et d’emploi. Maintenant, il aborde la question religieuse, -forcément politique-, celle de la foi et de l’intégrisme. Dans la salle, on se tait, on écoute. Abdel le journaliste est au sixième rang, sur la mezzanine, à une quinzaine de mètres face à la tribune. Son carnet à la main, le chroniqueur local a tout noté : les huit fonctionnaires assis de part et d’autre du président Boudiaf, les fleurs coupées posées à même la table, les caméras, les drapeaux et ces grands rideaux ocres qui ferment la scène. Il est onze heures trente cinq ce lundi vingt neuf juin, Mohammed Boudiaf parle toujours de progrès et de religion. Il commence une phrase :" les pays développés nous devancent grâce à leurs connaissances scientifiques mais ...l’Islam". L’Islam : ce sera son dernier mot. "La suite vous la trouverez en cliquant sur ce lien